Blog | HPRG Un hommage à Virginie – Hotels Paris Rive Gauche Blog

Un hommage à Virginie

Depuis que Virginie est partie pas un jour ne passe sans qu’on s’en souvienne…


(Virginie hilare avec son pull rouge)

Virginie est arrivée en 1992 dans la fraîcheur de ses 22 ans, nous avons traversé tempêtes, conquêtes, fous rire avec cette belle jeune fille devenue jeune femme, tout au long des 15 années qu’elle a passé à nos côtés. A la fois très complice et très discrète, Virginie était une perle précieuse, autant appréciée des clients qu’elle traitait avec intelligence et bonne humeur que du personnel avec lequel elle collaborait toujours en parfaite harmonie. Chacun d’entre nous garde le souvenir intense de Virginie, dont on se rappelle la joie de vivre, la vivacité, les éclats de rire, les tendres maladresses, les remarques intelligentes, la beauté, la fidélité et tant de belles qualités qui font qu’on l’aimait et qu’elle nous manque terriblement. Les murs des Grands Hommes qui l’ont enveloppé durant toutes ces années, eux aussi s’en souviennent. Malgré sa rage de vaincre et son courage, la maladie a eu le dernier mot, quelle injustice de voir partir une personne si lumineuse. La vie continue peut être, mais en nous forcément reste un petit bout de Virginie .

Corinne Moncelli (Propriétaire des Hôtels Paris Rive Gauche)

Alain Bisotti
Virginie avait tenu à être présente lors de la première édition de « Photo d’Hôtel, Photo d’Auteur ». Malgré sa fatigue, elle était là, souriante.. c’est cette image que je garde d’elle. Nous tenons à lui rendre hommage : le Prix du personnel des Hôtels Paris Rive Gauche s’appelle désormais le « Prix Virginie Clément ».

Ci-dessous quelques témoignages de ceux qui la connaissaient .

Yvonne et Jean Bréthous
Tu nous manques beaucoup Virginie. Tu étais le rayon de soleil de l’ Hôtel, toujours souriante, et accueillante. Ton humour, ta joie de vivre, mais également tes étourderies, faisaient de toi cette fille attachante, appréciée de tous. Tu faisais partie de notre famille, ta disparition nous a beaucoup affectés,ton souvenir reste à jamais gravé dans nos coeurs.

Marie José
Il est de ces personnes qui, quelque soit leur état d’âme ou les périodes difficiles qu’elles traversent, gardent toujours leur sourire et leur bonne humeur. Virginie était de celles là. Toujours souriante, pétillante, d’humeur joviale quelque soit les circonstances, elle avait en plus la faculté de nous transmettre sa bonne humeur et sa joie de vivre. Attentive, soucieuse des autres plus que d’elle-même, elle possédait également cette qualité humaine si rare. Difficile de parler de toi au passé Virginie, mais la leçon de courage que tu nous as donnée à tous et le souvenir de ta personne si attachante que tu nous as laissé, font que tu resteras à jamais dans nos mémoires.

Sophranie Je repense à tous les bons moments que j’ai eu avec Virginie et ils étaient tous excellents. Je n’apprendrai rien à personne en disant qu’elle avait la joie de vivre et qu’elle savait transformer les pires situations en quelque chose de comique. Mes meilleurs moments, avec elle, ont été de vainement la former à tous les tableaux HPRG , divers et variés…et Dieu sait qu’i y en a …Ce fut des moments au-delà du comique, je les revis dans ma tête mais ne saurai les expliquer avec les mots justes. Son décès m’a profondément peiné et attristé et je pense très fort à sa Maman dans cette terrible épreuve. Le courage de Virginie devant la maladie a été exemplaire et j’espère de tout cœur que tout le monde en prenne conscience. La vie est si courte et elle a su nous montrer et nous dire(les peu de fois où j’arrivais à la joindre au tél) que chaque instant est précieux et vaut le coup d’être vécu.Elle me manquera beaucoup physiquement mais à chaque fois que je pense à elle, je vois un sourire et une bonne humeur communicative.

Malika
Que dire de cette collègue qui était la joie de vivre, aussi agréable le matin que le soir. Nul doute, on ne peut oublier un visage pareil.

Wimal
C’est avec tristesse que je prononce ces mots : une collègue humaine, souriante et gentille. Elle laisse un grand vide derrière elle.

Thomas D
Virginie était une très bonne amie et collègue de longue date, toujours souriante, serviable, vivante. Elle adorait le champagne…Tu resteras toujours dans ma mémoire. Adieu mon Amie.

Matthieu C.
Qu’il est difficile de trouver ses mots pour exprimer tant d’émotion ! Virginie était profondément gentille et pendant les deux années où je l’ai connue, tous me l’ont confirmé : ses collègues, ses amis(es) , les clients qu’elle recevait. J’aurais aimé passer plus de temps avec elle mais même si elle n’est plus là , je garderai toujours une pensée et de l’affection pour elle.

Nicole Tress
Quand je pense à Virginie je l’entends rire, ce son si particulier qui remplissait le hall des Grands Hommes, des fous rires incroyables !! Une jeune femme généreuse avec qui j’ai passé de franches années de camaraderie…

Michael V
Je me souviendrai toujours de toi qui est la première personne qui m’a appris mon métier à l’époque à l’hôtel des Grands Hommes, puis qui a été ma collègue puis amie lors de nos sorties entre réceptionnistes, tu resteras dans nos mémoires comme quelqu’un d’humain, plein d’humour, une personne tout simplement inoubliable.

Emilienne et Joseph
Nous l’avons aimée . Elle est partie…Et comme à vous, elle va nous manquer longtemps, très longtemps.

Stéphanie B
C’était à l’hôtel des Grands Hommes que j’ai rencontré Virginie . Virginie est une personne spontanée, joviale et bonne vivante. Je me souviens un jour, on voulait aller à la Vallée de Chevreuse. On était parties à 10H00 du matin de Paris en voiture et on s’est retrouvées à Disneyland vers minuit, il faut dire que Virginie et le sens de l’orientation ça fait deux. Nous nous étions perdues dans des petites villes , je ne sais où, mais pas une fois on s’était énervées, au contraire nous n’arrêtions pas de rigoler tout le trajet, nous moquant de nous-mêmes et parfois des gens qu’on avait rencontré sur notre chemin. Je me souviendrai toujours nos fous rires de ce week-end là. Elle me manque terriblement !

Marie G
J’ai travaillé à la réception de l’hôtel des Grands Hommes environ 2 ans en compagnie de Virginie, malgré son désordre et ses étourderies (ceux qui ont travaillé avec elle doivent sourire) c’est la personne avec qui j’ai eu le plus de facilité et de plaisir à travailler. Durant cette période, son Papa est tombé gravement malade et tout en continuant de travailler sans jamais se plaindre, elle lui rendait quotidiennement visite. Afin de lui faciliter son emploi du temps, nous avons échangé de nombreux horaires. Dans une de nos trop rare conversation (les regrets arrivent souvent trop tard) je lui faisais part de ma convoitise sur le petit haut chinois qu’elle portait. Après le décès de son Papa, elle me rapporta un cadeau… et je pense que vous devinerez ce qu’il contenait… un petit haut chinois qu’elle avait acheté pour me remercier d’avoir été arrangeante. C’était pour moi la moindre des choses que je pouvais faire mais malgré l’épreuve qu’elle venait de traverser, elle n’avait pas oublié ! Vous n’aviez pas besoin de beaucoup la connaître pour ressentir sa simplicité, sa générosité et sa gentillesse, je garderai à jamais le souvenir d’une femme Remarquable. Sa dernière initiative montre à quel point elle pensait aux autres avant de penser à elle, en exprimant le souhait de ne pas la contacter durant sa chute afin que nous gardions d’elle la meilleure image qui soit. Merci Virginie d’avoir été toi-même.

Carine
Quand je suis arrivée à la Résidence Henri IV, Virginie était déjà aux Grands Hommes…d’une simple collègue de travail, même si nous n’avons jamais travaillées dans le même hôtel, Virginie s’est transformée en amie. Toujours souriante et jamais stressée malgré les milles et une choses à faire à la réception , elle avait toujours le temps de bichonner ses clients, d’ou peut être ses nombreuses étourderies qui après coup nous faisaient bien rire lorsque l’on se retrouvait après le travail autour d’un petit verre. La dernière fois que j’ai pu voir Virginie, j’étais sur le point d’accoucher, on s’est croisées dans la rue en bas de chez nous, elle semblait bien… le temps à passé, mais je n’ai pas recroisée Virginie pour lui présenter Toscane, mon petit bou de chou de 11 mois maintenant. C’est dommage… La vie ne tient vraiment à rien mais ce que je retiendrais deVirgine c’est son sourire et son optimisme qui ne l’ont pas quités même pour lutter contre la maladie mais voilà çà n’a pas suffit…alors au revoir Virginie, tu auras toujours une place dans mon coeur.

Et Norbert, Fréderic , Iqbal, Virginie H et ses parents tous ont de la peine.

Nous pensons à Christiane et Rémy, Maman et frère de notre Virginie, et nous les soutenons de notre amitié durable, qu’ils sachent que nous partageons leur chagrin.

Virginie à l’Hôtel des Grands Hommes